21.03.2013 Liège - Ans (261 km)
de mieux en mieux
Résultats:
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Daniel Martin
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41ème à 1'20"
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Abandon
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Cela va de mieux en mieux pour Andy Schleck en cette fin de période printanière puisqu'il a terminé 41ème de Liège-Bastogne-Liège, après avoir été au contact avec les meilleurs jusque dans la dernière difficulté du jour, la côte de Saint-Nicolas, c'est-à-dire pendant près de 250 kilomètres. Cela faisait près d'un an que cela ne lui était plus arrivé. C'est après une dizaine de kilomètres de course seulement, après la sortie de Liège, que l'échappée du jour a pris forme lorsque Sander Armee, Bart De Clercq, Vincent Jérôme, Pirmin Lang, Frederik Veucheulen et Jonathan Fumeaux ont faussé compagnie au peloton pour s'octroyer un avantage de 14 minutes après moins d'une heure de course. Mais sous la conduite des Katusha, le peloton est bien vite sorti de sa létargie et, à l'approche de la trilogie stratégique Wannes, Stockeu et Haute-Levée, l'écart avait repris des proportions raisonnables de six minutes environ. Mais ce n'est que dans la côte de la Redoute, bien plus tard, que l'action a véritablement démarré. Les échappés repris, Lopez, Rui Costa et Fuglsang ont accéléré, provoquant une réaction immédiate de Philippe Gilbert, à deux pas de chez lui. Cunego, Bardet, Frank, Losada et Fedrigo ont également tenté leur chance, mais dans la longue approche vers l'avant-dernière difficulté de la journée, les Garmin et les BMC ont provoqué un regroupement. Une bonne cinquantaine de coureurs étaient encore en lice pour la victoire à ce moment-là, parmi-eux Andy Schleck et Alberto Contador, qui a attaqué dans la côte de Colonster, nouvelle venue au menu de la journée. Schleck a dû s'accrocher au bon groupe et Contador n'a pas réussi à se détacher, mais Ryder Hesjedal est parti en contre, entament seul la denière ascension de la journée, la terrible côte de Saint-Nicolas. C'était la montée de trop pour Andy Schleck qui a dû laisser filer, à l'image de beaucoup d'autres coureurs, car ils n'étaient plus que six en tête de la course à quelques kilomètres du but: Hesjedal toujours, son équipier Martin, Valverde, Rodriguez, Betancour et Scarponi. Gilbert, Contador, Gerrans et les autres étaient à quelques secondes et le suspense demeurait intact. Dans les trois derniers kilomètres vers Ans, Joaquin Rodriguez a porté un de ses démarrages explosifs et s'est installé en tête de la course, avant de voir revenir vers lui l'Irlandais Daniel Martin. Le fils de l'ancien coureur de l'ACC Contern, Neil Martin, a déposé Purito dans le dernier kilomètre pour l'emporter devant l'Espagnol, Valverde et Betancour. Pour Jempy Drucker, étant donné son état de santé, il était hors de question d'aller jusqu'au bout et, pour lui, c'était déjà une grande aventure d'être au départ de cette course légendaire pas du tout faite pour lui et d'en respirer l'ambiance, à deux pas de nos frontières.
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17 avril 2013: 77ème Flèche Wallonne
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17.03.2013 Binche - Huy (205 km)
presque au pièd du mur
Résultats:
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Daniel Moreno
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86ème à 4'35"
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Après une nouvelle déconfiture à l'Amstel Gold Race où il a dû abandonner la faute à pas de chance, Andy Schleck a bien réussi sa Flèche Wallonne puisqu'il s'y est montré un brin offensif et était avec les meilleurs jusque (presque) au pièd du mur de Huy, un mur dans lequel le Colombien Carlos Betancour a failli faire un pièd de nez aux favoris, causant la perte de Philippe Gilbert face à un Moreno plus rusé. Gilles Devilliers. Pirmin Lang se sont échappés après 20 kilomètres de course à peine, rejoints bien plus tard par Jurgen Van Goolen et les trois hommes avaient un avantage maximal de 10 minutes avant la mi-course, lorsque le peloton à décidé d'engager la poursuite. Ce sont les BMC de Philippe Gilbert qui ont fait le gros du travail et, à un peu moins de 50 kilomètres du but, le trio de tête s'est déjà fait rejoindre. Les attaques ont fusé, évidemment, et après le deuxième passage du mur de Huy, Laurens Ten Dam et Simon Geschke se sont installé en tête de la course face au rouleau-compresseur des BMC. Dans l'avant dernière difficulté de la journée, Andy Schleck a tenté sa chance, il a accéléré dans le peloton pour essayer de revenir sur la tête de course, mais ce n'était pas la bonne option: regroupement général peu avant le sommet de la bosse et Andy qui s'est retrouvé en difficulté à l'arrière du peloton. Le Luxembourgeois a bien essayé de revenir avant le pièd du Mur avec une vingtaine d'autres concurrents, mais il a échoué de peu, terminant 86ème dans le classement du jour, à plus de 4 minutes du vainqueur. Celui-ci s'est donc décidé, une fois de plus, dans l'ultime ascension de la rue de la Chapelle, avec ses 21% de pente, et Betancour a semé la zizanie parmi les favoris en partant à 700 mètres du but, bien loin du fameux virages souvent décisif. Il était impressionnant, le Colombien, et il a pris de l'avance tellement rapidement que Gilbert a décidé de réagir, bien trop tôt. Le champion du monde a accéléré à 500 mètres de la ligne, avec Sagan dans son sillage, avant de se faire dépasser par ses concurrents, Daniel Moreno en tête. Comme son copain Rodriguez un an plus tôt, l'Espagnol a démarré au bon moment pour déposer l'homme de tête en vue de la ligne d'arriver et remporter la victoire devant Henao, Betancour, Martin et l'étonnant Kwiatkowski.
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14 avril 2013: 48ème Amstel Gold Race
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14.03.2013 Maastricht - Valkenburg (251 km)
Bons et mauvais moments
Résultats:
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Roman Kreuziger
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Abandon
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Pas de chance pour Andy Schleck à l’Amstel Gold Race, où il était impliqué dans une chute au mauvais moment, c’est-à-dire le moment où le peloton commençait à prendre de l’allure pour réduire l’écart avec les échappés et entamer le final de la course. C’est peu avant la deuxième ascension du Cauberg qu’une bonne partie du peloton s’est retrouvé par terre, parmi-eux Gilbert, Ten Dam, Voeckler, Rui Costa et, donc, Andy Schleck. Alors que la plupart des coureurs ont rapidement repris la course et que Voeckler était définitivement éliminé, le champion du monde et l’ancien champion du Luxembourg ont mis du temps à reprendre la route. Après une course-poursuite effrénée, Gilbert a pu reprendre sa place dans le peloton pour finalement terminer cinquième, alors qu’Andy n’a jamais récupéré de l’effort et il a abandonné la course un peu plus tard. Car le peloton était entre-temps lancé à toute allure, dans la quête du temps perdu, plus de 11 minutes d’avance que Vansummeren De Troyer, Pliuschin, Astarloza, Van Overberghe, Sys et Vogondy possédaient à moins de 100 kilomètres de l’arrivée. A moins de quarante kilomètres de l’arrivée, l’équilibre était rétabli et l’écart entre ce qui restait du groupe de tête et le peloton était de l’ordre de la minute. Plusieurs coureurs ont réussi à faire la jonction ave la tête de course, y compris Weening, Nordhaug, Grivko et Kreuziger. Alors que, dans le peloton, tout le monde attendait les Cannondale de Peter Sagan, Roman Kreuziger a joué au plus fin, il a attaqué au bon moment et s’est installé seul aux commandes, avec le Cauberg en point de mire. Au pièd de l’ultime difficulté de la journée, le Tchèque de chez Saxo avait une quarantaine de secondes d’avance sur un peloton ou les favoris tardaient toujours à prendre leurs responsabilités. Phillippe Gilbert a bien tenté de faire le coup des championnats du monde dans le Cauberg, mais lui-aussi avait laissé des forces en cours de route et il ne parvenait à se défaire de Valverde et Gerrans, ni à boucler le trou avec l’homme de tête. Roman Kreuziger n’a pas faibli sur la fin et il s’est finalement imposé avec une vingtaine de secondes sur Valverde et Gerrans, à la tête d’un petit groupe d’une vingtaine de coureurs.
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du 1er au 6 avril 2013: 53ème Vuelta al Pais Vasco
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05/04/2013 - 5: Eibar/Arate / Beasain (166 km)
Par la petite porte
Résultats:
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Richie Porte
Sergio Henao
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Abandon
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Comme une petite centaine d’autres concurrents, Andy Schleck a quitté le Tour du Pays-Basque par la petite porte, après une nouvelle journée de m… ou la pluie, la neige et le froid ont au moins autant fait souffrir les coureurs que le profil escarpé des routes détrempées dans le Nord de l’Espagne. Après une crevaison et un changement de vélo, suivi par autant de courses poursuite pour réintégrer le peloton, Andy a mis pièd à terre au ravitaillement, transi par le froid et en même temps que Gilbert, Hesjedal ou tant d’autres. Dans cette lutte pour la survie, Andy souffrait à l’arrière mais Laurent Didier avait décidé d’aller de l’avant, dans un groupe de 10 coureurs avec Talansky, Rui Costa, Moreno et Fuglsang, entre-autres. Mais ils n’ont jamais eu beaucoup d’avance car les Sky veillaient au grain dans le peloton, anticipant un final montagneux dans lequel ils voulaient consolider le maillot jaune de Henao. Kiryienka et Sanchez ont ouvert le festival des attaques dans le final, suivis par Contador, mais c’est Richie Porte qui a eu le dernier mot avec une attaque sous la flamme rouge, s’imposant avec quatre secondes d’avance sur Sanchez et son coéquipier Henao, toujours en jaune.
04/04/2013 - 4: Trapagaran - Eibar/Arate (151 km)
Un Colombien peut en cacher un autre
Résultats:
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Nairo Quintana
Sergio Henao
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128ème à 18’32”
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89ème à 22’58”
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Les Colombiens ont pris le pouvoir au Pays Basque puisqu’ils ont à nouveau placé trois des leurs dans les quatre premiers de l’étape, les trois mêmes qu’hier mais pas dans le même ordre. C’est dans une petite descente en vue de l’arrivée que Nairo Quintana a faussé compagnie à un groupe select de favoris pour l’emporter en solitaire, deux petites secondes devant le maillot jaune Henao, Contador, Betancour. Spilak, Porte et Peraud. Ces sept hommes s’étaient dégagé dans la dernière montée du jour, après des attaques successives de Herrada, Weening et Spilak dans un premier temps, puis de Porte et de Henao, les deux coureurs de chez Sky. En tête de la course, Peter Velits et Matteo Montagui, les derniers survivants d’une longue échappée qui contenait également Vorganov, Ratto et Taaramae, étaient tout aussi impuissant face aux accélérations de Richie Porte que ne l’étaient Weening, Sanchez, Cunego, Fuglsang, Kreuziger ou Montfort, qui ont tous perdu du temps aujourd’hui. Mauvais journée également pour Andy Schleck qui a terminé l’étape dans le gruppetto, après avoir essayé en vain d’aller dans une échappée en début de parcours. Au terme des 150 difficiles kilomètres dans le froid et sous la pluie incessante, par monts et par vallées, le Luxembourgeois a perdu plus de 18 minutes en 128ème position, accompagné par Laurent Didier et Jens Voigt, ou encore des coureurs comme Albasini, Van de Walle, Txurruka et Tankink.
03/04/2013 - 3: Vitoria Gasteiz - Trapagaran (164 km)
Un mur avant l’heure
Résultats:
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Sergio Henao
Sergio Henao
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60ème à 3’04”
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57ème à 4’28”
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C’est un véritable mur digne de celui de Huy que les coureurs du Tour du Pays-Basque ont rencontré sur la fin de la troisième étape et ces rampes abruptes à plus de 21% sont devenues une histoire colombienne : Sertio Henao s’est imposé au sprint devant son compatriote Carlos Benacur, tandis que Nairo Quintana a pris la quatirème place à 8 secondes, dans la roue de l’Italien Caruso. Une bonne soixantaine de coureurs se sont présentés ensemble au pièd du mur final en deux parties vers Trapagaran, après que l’échappée matinale composée de Txurruka, encore lui, Fraile, Landa, Bardet et Navarra, fut rejoint. Pami eux, il y avait également Andy Schleck, mais c’est Ryder Hesjedal qui a ouvert les hositilités dès les premiers pourcentages. Mais c’est Betancour et Caruso qui ont pris de l’avance avant la partie la plus abrupte de l’ascension et seul Sergio Henao a pu réaliser la jonction avec les deux coureurs de tête, pour les dépasser dans les derniers mètres de l’étape. Porte, Contador, Sanchez, Gadret, Fuglsang, Cunego et compagnie suivaient à quelques secondes, tandis qu’Andy Schleck a perdu trois minutes dans les six derniers kilomètres, terminant à son rythme et en soixantième position dans le classement du jour, après une difficile journée de montagne au cours de laquelle il a plutôt bien accompagné les meilleurs.
02/04/2013 - 2: Elgoibar - Vitoria Gasteiz (170 km)
Et de deux pour Orica
Résultats:
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Daryl Impey
Francesco Gavazzi
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90ème à 23”
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81ème à 1’24”
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La formation Orica-Green Edge a fêté sa deuxième victoire d’étape en autant de jours sur le Tour du Pays Basque puisqu’après Gerrans, c’est Daryl Impey qui s’est imposé au sprint devant Francesco Gavazzi, Vicioso, Ratto et Vanendert. Par le jeu des points obtenus lors des arrivées, l’Italien Gavazzi s’est emparé de la tunique jaune devant Vicioso. Le compagnon d’échappe de Laurent Didier hier, Amets Txurruka, a remis le couvert aujourd’hui avec un long périple en solitaire qui lui a permis de conforter son avance sur le Luxembourgeois au classement de la montagne. C’est à moins de trente kilomètres de la ligne que le Basque s’est fait rattraper, d’abord par Voigt et Malori partis en contre, puis par le reste du peloton sur les routes menant vers la ligne d’arrivée. 130 coureurs étaient alors encore en lice pour la victoire, mais dans le final sur routes mouillées, le peloton s’est divisé encore suite à une chute : Andy Schleck a franchi la ligne d’arrivée dans un deuxième groupe, 99ème à côté du vainqueur du dernier Giro, Ryder Hesjedal, et avec moins d’une demie-minute de retard sur le groupe de tête qui comportait 85 unités environ.
01/04/2013 - 1: Elgoibar - Elgoibar (157 km)
Les costauds devant
Résultats:
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Simon Gerrans
Simon Gerrans
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80ème à 1'01"
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80ème à 1'01"
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Les costauds étaient devant lors de cette première étape du Tour du Pays-Basque, ponctuée d'une série de côtes de première et deuxième catégorie. Si c'est Simon Gerrans qui l'a emporté au sprint devant Peter Velits et Angel Vicioso, ils n'étaient guère plus qu'une vingtaine à se le disputer, ce sprint pour la victoire, parmi-eux Contador, Fuglsang, Porte, Van Garderen, Kreuziger et j'en passe. Ils s'étaient dégagé en tête de la course peu après la dernière côte de la journée, quand une chute a divisé davantage encore un peloton déjà bien secoué par la répétition des difficultés. Les écarts étaient minimes et un deuxième groupe avec Sanchez, Gilbert, Hesjedal, Cunego et Klöden était sur leurs talents, mais grâce au travail collectif des Orica Green-Edge, les dix-sept leaders ont rallié l'arrivée avec un avantage de quelques secondes sur leurs poursuivants, pour se disputer la victoire d'étape au sprint. Auparavent, c'est Laurent Didier qui a longtemps colorié la course avec une échappée au long cours. Il faisait partie de l'échappée matinale de cinq coureurs, mais au fil des difficultés, seuls Didier et Txurruka restaient aux commandes. Après avoir eu un avantage maximal de 5 minutes et demie, ils en avaient beaucoup moins à l'entame du final et, dans les premiers lacets de l'Alto de San Miguel, à moins de 10 kilomètres de l'arrivée, d'abord Didier puis Txurruka se sont fait cueillir par le peloton. Un peloton qui comptait bien moins que 100 coureurs à cet instant de la course et, alors que bon nombre de concurrents avaient été lâchés sur le terrain difficile du Pays Basque, Andy Schleck faisait toujours partie des hommes de tête. L'ascension de l'Alto San Miguel lui a cependant été fatal et le Luxembourgeois a terminé 80ème de l'étape, à une minute du vainqueur du jour.
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4 avril 2013: 47ème GP Pino Cerami
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04.04.2013 St Ghislain - Frameries (206 km)
Van Genechten le plus rapide
Résultats:
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Jonas Van Genechten
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Abandon
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Il ne fallait évidemment pas s'attendre à ce que les problèmes de Jempy Drucker disparaissent au cours de la nuit et, sans surprise, le Luxembourgeois a donc égalemant abandonné le Grand-prix Pino Cerami. En route maintenant pour l'Italie ou le Luxembourgeois devra s'atteler à des tests de réglages plus précis et faire faire les modifications nécessaires chez le fabricant de sa selle, en vue de retrouver les bonnes sensations. La course s'est terminée au sprint et par la victoire de Jonas Van Genechten devant Romain Feillu et Andris Smirnovs. Dominique Cornu, Benoît Jarrier et Boris Vallée composaient le trio de tête qui a longtemps occupé les devants de la scène, avec un avantage maximal de 9 minutes. Pourtant, à l'approche du final, l'écart ne cessait de baisser et bien des coureurs voulaient réaliser la jonction avec les leaders. Le vainqueur sortant Gaetan Bille était de ceux-là, tout comme Eeckhout, Marcato ou Johan Coenen, l'ancien vainqueur du Grand-prix OST-Manufaktur. Mais le peloton a rappelé tout le monde à l'ordre et un regroupement général s'est opéré à une bonne trentaine de kilomètres du but. Le final a vu beaucoup d'autres attaques avec notamment Marcato, Malacarne et Vachon comme coureurs les plus actifs, mais les Lotto-Belisol ont effectué un travail colossal en tête du peloton pour provoquer un sprint massif, un travail qui sera finalement récompensé par la victoire d'un des leurs, le jeune Thomas Van Genechten.
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3 avril 2013: 101ème GP de l'Escaut
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03.04.2013 Antwerpen - Schoten (204 km)
Pas d'amélioration
Résultats:
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Marcel Kittel
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Abandon
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Toujours pas d'amélioration pour Jempy Drucker qui ne parvient pas à trouver de position correcte sur le vélo suite à son changement de selle. Après plus de 100 kilomètres de vélo, les lombaires du Luxembourgeois se raidissent et il n'arrive plus à tranmettre la puissance sur ses pédales. Découragé, Jempy a abandonné une de ses courses de prédilection de plus, la quatrième d'affilé en deux semaines. Autre mécontent de la journée, Mark Cavendish a dû s'avouer vaincu face à Marcel Kittel dans un sprint des plus annoncés. Archi-favori, le triple vainqueur du Grand-prix de l'Escaut s'est pourtant retrouvé esseulé dans le final et bien trop loin au moment de lancer son sprint. Parti très tôt dans cet emballage, Marcel Kittel a réussi à résister au retour de Cavendish pour remporter le diamant promis au vainqueur devant l'ancien champion du monde, Barry, Guardini, Kristoff et Tyler Farrar. Neuf coureurs avaient coloré la course tôt dans la journée, mais Kenneth Vanbilsen, Koen Barbé et compagnie se sont fait rattraper bien loin de l'arrivée, peu après la mi-course déjà. Alors qu'une plusieurs chutes ont ébranlé le peloton, l'une d'entre-elle impliquant le récent vainqueur du Tour des Flandres, Fabian Cancellara, trois hommes ont faussé compagnie au peloton: Stefano Borchi, Sven Vandousselaere et Matt Brammeier ont obtenu jusqu'à trois minutes d'avance, mais eux-aussi se sont fait avaler à nouveau par la meute, à une bonne vingtaine de kilomètres de la ligne d'arrivée, pour faire place à un sprint massif inévitable.
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