La 33ème Charly Gaul

cyclo-sportive ouverte à tous
les cyclistes de plus de 14 ans
le 3 septembre 2023 à Echternach
LA PASSE DE QUATRE
www.arnoldkontz-cycles.com www.echternach.lu www.inspiringluxembourg.public.lu www.ost.lu

En cette merveilleuse journée d'automne, tout s'est très bien déroulé dans l'organisation de la 33ème édition de La Charly Gaul: météo presque parfaite, beaucoup de participants, peu d'accros dans l'organisation et peu d'accidents. Cyriane Muller a réussi la passe de quatre cette année, remportant la course des dames sur les 100 kilomètres pour la quatrième fois d'affilée, et devenant ainsi la recordwoman absolue de la cyclo-sportive. D'autres ont également joué les récidivistes: Ils Van der Moeren s'est imposée pour la troisième fois sur le grand parcours, alors que Michael Apers (100 km hommes) en est à son deuxième coup de maître, après une victoire sur la longue distance en 2019. Le vainqueur hommes de la catégorie-reine a, quant-à-lui, inauguré son palmarès: Loïc Bettendorf s'est imposé pour la première fois dans La Charly Gaul, après avoir déjà joué les Top 10 par le passé.

Alors que le mercure était annoncé à un niveau record pour l'après-midi, il faisait encore frais à neuf heures du matin, quand les coureurs ont commencé à s'aligner sur la place du Marché à Echternach pour un départ nouvelle formule. En effet, les deux distances A et B disposaient d'un départ en commun, comme en 2022, mais la séparation en trois cellules de départ devait diminuer des déplacements dans les premiers hectomètres. Hélas, les coureurs n'ont pas joué le jeu: près de la moitié des participants ont ainsi déclaré "jouer la gagne" et se sont empressé de s'aligner dans les permières lignes au départ, alors que certains d'entre-eux ont terminé à une heure et demie du vainqueur ou même au-delà de la 500ème place. D'autres, inscrits de dernière minute, n'ont plus trouvé de place dans le premier box et ont franchi la ligne de départ à la fin de l'immense peloton, avec plus d'une minute et demie de retard sur les premiers pour, finalement, ... terminer la course dans le groupe de tête. Une affaire à améliorer donc en tout cas pour la récidive. A part cela, les inscriptions s'étaient très bien déroulées: les enregistrements en ligne plus nombreux que jamais et les inscriptions de dernière minutes plus limitées, du pain béni pour les volontaires du comptoir d'accueil qui ont tout de même enregitré 1274 concurrents, troisième score le plus élevé de tous les temps après 2017 (1.360 participants) et 2013 (1.288 partants). Sur la grande distance, les 655 partants ont établi un nouveau record absolu (contre 568 l'année dernière) et le parcours B de 100 kilomètres se retrouvant donc forcément amputé de quelques unités par rapport aux éditions précédentes. Même constat pour la gente féminine: les 145 kilomètres ont enregistré un record de participation (30 dames en 2023 contre 26 en 2022) alors qu'avec 87 participantes au total, le pourcentage général de filles le peloton (6 %) a malheureusement légèrement diminué par rapport à il y a 12 mois (7 %).

Une fois n'est pas coutume, les Belges étaient les plus nombreux parmi les 22 nationalités présentes à Echternach avec 518 participants, loin devant les indigènes (256 Luxembourgeois) et les 162 Néerlandais. Les autres nationalités traditionellement bien représentées étaient les Allemands (133 coureurs) et les Français (113), alors qu'il y avait également cette année des Polonais, des Américains, des Brésiliens, un Argentin, un Chinois, une Africaine du Sud, un Cubain et un Japonais, pour ne citer qu'eux. 7 coureurs avaient 15 ans ou moins sur La Charly Gaul 2023, dont 3 sur la grande distance (Ludovic Mottet, Charel Schiltz, Niels Van der Ent) et 19 coureurs n'étaient pas encore majeurs au moment d'aborder la course, dont les deux filles luxembourgeoises Emma Vicente (parcours B) et Gwen Nothum (sur la grande distance). Le participant le plus agé, l'éternel Hans May, avait 84 ans au moment de prendre le départ alors que les filles les plus expérimentées étaient Suzie Godart et Monique Fortuné. Au total, 14 coureurs àgés de 70 ans ou plus se sont alignés sur la place du Marché, dont Francis Schauteet, Frans Jacobs et Julien Villance sur la grande distance. Pour leur 33ème Charly Gaul, Nico Thoma et Yves Lehnert ont terminé le parcours le plus long, en 570ème respectivement 614ème position. Chapeau bas, une fois de plus.

Une seule côte inédite faisait partie du parcours 2023, la minuscule montée entre Berbourg et Lellig et, en fait, elle n'a fait son apparition dans le tracé que suite à un changement de parcours de dernière minute. 52 mètres de dénivellation, c'est fort modeste, mais après 115 kilomètres de course, le "Reselbierg" avait de quoi secouer les mollets des coureurs. Trois autres côtes ont fait une apparition remarquée dans cette 33ème édition puisque, si elles n'étaient pas vierge de tout passage, cela faisait très longtemps que la course n'avait pas emprunté la côte de Longsdorf (dernier passage en 1997), la terrible montée d'Eppelorf avec sa longue, longue ligne droite à du 11 % de moyenne ou alors l'ascension vers Berdorf sur son versant le plus difficile, à partir de Grundhof. Une petite innovation également du côté de Wahlhausen, ou un chantier nous a gentiment imposé d'emprunter la rue "Um Zeibchen", petite ruelle étroite avec des pentes à plus de 15 % au début d'une ascension qui compte déjà parmi les plus difficiles de l'histoire de La Charly Gaul. Sinon, du classique plutôt dans le parcours avec le départ commun des deux catégories le long de la Sûre jusqu'à Bleesbreck et puis le retour par Consdorf, Berbourg, Dickweiler, Hinkel et les derniers kilomètres le long de ... la Sûre à nouveau. Malheureusement, l'expérience allemande de l'année précédente n'a pas pu être renouvelée, pour cause d'interférence avec une autre manifestation dans la région.

LA CHARLY GAUL A (145 km)

C'était donc un immense peloton de plus de 1.200 coureurs qui a entamé peu après 9h30 les premiers kilomètres du parcours et la traditionnelle côte de Berdorf. En haut de cette première difficulté, les favoris ont déjà pointé le bout de leur nez. Le champion Luxembourgeois chez les espoirs, Loïc Bettendorff, avait pris les devants avec une cinquantaine de mètres d'avance sur le peloton emmené par un autre licencié FSCL, Max Valtey, et le meilleur représentant sur les 100 kilomètres, Philipp Sunnen. Si Loïc s'est fait rattraper dans la descente vers Grundhof par Valtey et Thomas Lehnen, le reste du peloton n'était pas loin, mais, déjà, fractionné en morcaux. Certains favoris comme Mil Morang, Vince Mattens ou Larry Valvasori avaint déjà plusieurs dizaines de secondes de retard et devaient faire l'effort par la suite pour revenir dans le premier groupe. Après une grosse quarantaine de kilomètres de course, peu avant d'entamer la principale difficulté vers Wahlhausen, 6 coureus avaient pris le large devant, avec 45 secondes d'avance sur les prochains poursuivnts: Loîc Bettendorf, toujours lui, l'ancien coureur professionnel et multiple champion de Finlande Matti Helminen, l'ancien champion de France sur piste Nicolas Janvier, Max Valtey, qui avait animé le Grand-prix OST au mois de mars à Bech, le coureur élite sans contrat belge Ward Wauters et Thomas Lehnen, premier champion de Belgique E-Sports de l'histoire. Helminen, Valtey et Janvier on dû lâcher prise par la suite, si bien que Bettendorff, Lehnen et Wauters formaient encore un trio au retour à Bleesbreck (km 70), avec une minute et 30 secondes d'avance sur un groupe d'une cinquantaine de coureurs dans lequel il y avait notamment le champion du monde Gran Fondo Lars Van Coppenolle ou encore Michiel Minnaert, vainqueur cette année de la Gran Fondo des Vosges.

Les prochains kilomètres s'annoncaient difficile avec la succession des côtes de Broderbour, Eppeldorf et Berdorf et le groupe des poursuivants s'est scindé en plusieures parties. 2 grimpeurs ont faussé compagnie au reste et ils ont réussi à établir la jonction avec le trio de tête bien avant la fin de la trilogie: Larry Valvasori, coureur de l'équipe pro continentale de Nice-Métropole et Vince Mattens, vainqueur de la cyclo-sportive légendaire des Trois Ballons il y a quelques mois, avaient rattrappé le trio Bettendorff, Lehnen et Wauters, mais les écarts étaient minimes. Alors qu'il restait une cinquantaine de kilomètres à parcourir, les cinq hommes de tête avaient 27 secondes d'avance sur un groupe d'une quinzaine de coureurs avec notamment Van Coppenolle, Minnaert, Valtey ou Tim Karier. Un autre groupe de poursuivants avec Mil Morang, plus grand, avait perdu plusieurs minutes et tout espoir de revenir sur l'avant de la course. A Berbourg, 30 kilomètres avant la conclusion, la situation n'avait évolué que très peu: les cinq hommes de tête avaient trente secondes d'avance sur un groupe de 11 composé de Moritz Beinlich, Moritz Palm, Michiel Minnaert, Simon Gregoire, Tobias Endres, Jarne Herman, Jens Moerman, Tom Plovie, Rinus Verhelle, Lars Van Coppenolle et Tim Karier. Glenn Marin, Ibe Vandromme, Willem Haspeslagh et Eduardo Martinez suivaient à 4 minutes et demie, tandis que le prochain groupe avec Wielfaert et les Luxembourgeois Alex Kerrens et Mil Morang passait à 6 minutes.

Dans les derniers kilomètres, Valvasori et Wauters on dû lâcher prise à l'avant de la course, si bien qu'après 145 kilomètres parcourus à plus de 40 km/h de moyenne, ils étaient encore trois à se disputer la victoire au sprint. Pourtant très mal placé à 400 mètres de la ligne, Loïc Bettendorff a réussi à remonter tout le monde pour s'imposer devant Thomas Lehnen et Vince Mattens, à quelques longueurs. Belle récompense pour celui qui aura marqué la course de son empreinte offensive tout au long et qui aura passé la majorité des kilomètres devant. Larry Valvasory a franchi la ligne d'arrivée tout seul, à une vingtaine de secondes, tandis que l'Allemand Moritz Palm a emmené le premier groupe, fort de 10 unités, avec moins d'une minute de retard, devant Van Coppenolle et Valtey. A quatre minutes, Tim Karier a terminé troisième Luxembourgeois de la course avec Simon Gregoire, tandis qu'un grand groupe de trente, avec notamment Kristof Wielfaert, Nicolas Janvier ainsi que les Luxembourgeois Mil Morang et Alex Kerrens avait huit minutes de déficit sur le vainqueur du jour.

Chez les DAMES sur le grand parcours, elles étaient une demie-douzaine à prendre la tête de la course dans les premiers kilomètres: Ils Van der Moeren, double lauréate de La Charly Gaul, a franchi le sommet de la première côte de la journée avec une bonne minute de retard sur le premier concurrent masculin, en compagnie d'Inez Van der Hulsen, Nina Sender, Hester De Graf, Annelotte Dijkman, Wies De Jong et de la toute jeune Luxembourgeoise Gwen Nothum, 16 ans à peine. Quelques hectomètres plus loin, dans la descente vers Grundhof, Van Hulsen et Sender ont pris le large mais Van der Moeren et Dijkman n'ont pas tardé à revenir pour former un groupe de tête de quatre filles, à l'intérieur du deuxième grand peloton masculin. Dans la trilogie Broderbour, Eppeldorf et Berdorf, Van der Moeren a accéléré et, peu après le sommet de la côte de Berdorf, la championne du monde Gran Fondo de Glasgow avait 45 secondes d'avance sur Nina Sender, toute seule sur la route à la recherche de quelques compagnons de corvée, et une minute et demie sur le duo Van Hulsen et Dijkman. Hester De Graaf est passé à près de 7 minutes, devant De Jong et la courageuse Gwen Nothum, à 13 minutes.

A l'entame des dernières petites difficultés, Van der Moeren naviguait toujours confortablement en tête de la course, en 130ème position environ du peloton masculin et dans un groupe fort d'une quarantaine de coureurs. La lauréate de 2017 et 2019 avait accentué son avantage et possédait désormais un peu moins de trois minutes d'avance sur l'Africaine du Sud Nina Sender, Annelotte Dijkman et Inez Van der Hulsen, qui avaient terminé respectivement 6ème et 7ème de La Charly Gaul l'année dernière. Les trois filles sont passé au point de contrôle 50 positions plus loin que la première, dans un petit groupe d'une dizaine de concurrents et donc, forcément, avec peu de chances de revenir. A plus de 36 km/h de moyenne, Van der Moeren ne s'est pas fait prier pour accroître son avance sur les derniers kilomètres et la Belge a donc remportée une troisième victoire sur le grand parcours, avec 23 minutes de retard sur le vainquer masculin et 6 minutes d'avance sur Inez Van der Hulsen. La Néerlandaise, coureuse élite du club RWC Ahoy de Rotterdam, avait laissé ses deux concurrentes derrière elle et elle a franchi la ligne d'arrivée en solitaire à la position 180, une petite minute devant le petit groupe qui contenait, côte à côte, Anelotte Dijkman et Nina Sender. Derrière Hester De Graaf et Wies De Jong, Gwen Nothum a terminé la course après une superbe prestation en 7ème position à 18 minutes, première Luxembourgeoise et première, évidemment, de la catégorie des filles de moins de 19 ans trop rarement présente à la cérémonie protocolaire. Ingrid Haast, autre double lauréate de la cyclo-sportive il y a quelques années déjà, a terminé 12ème de la course des dames.

LA CHARLY GAUL B (100 km)

Au cours des tous premiers kilomètres de la course, c'est le Luxembourgeois Philipp Sunnen qui a tiré son épingle du jeu en franchissant le sommet de la première côte en deuxième position, derrière Loïc Bettendorf et aux côtés de Max Valtey, premiers protagonistes du grand parcours. Par la suite, cependant, c'est Anthony Spysschaert qui a le mieux navigué au sein des différents groupes du gigantesque peloton, tant et si bien qu'à la séparation des deux parcours au kilomètre 27, il s'est retrouvé tout seul en tête sur le plus petit parcours. Celui qui est un habitué des podiums de La Charly Gaul a décidé de continuer en solitaire et, au sommet de la côte de Broderbour, il avait 1 minute et 10 secondes d'avance sur ses premiers poursuivants. 30 kilomètres plus loin, après le deuxième passage à Berdorf, l'avance de Spysschaert avait bien diminué, pour se stabiliser ensuite à une trentaine de secondes jusqu'à Berbourg.

Spysschaert, qui compte comme meilleur résultat à La Charly Gaul une deuxième place sur le grand parcours en 2018, est passé à une quarantaine de kilomètres de la conclusion avec une quarantaine de secondes d'avance sur un groupe d'une quarantaine de coureurs. Le petit peloton emmené par le triathlète luxembourgeois Paris Fellmann comprenait notamment le vainqueur sortant sur la grand parcours, Michael Apers, Michael Hilgers, lauréat de La Charly Gaul B en 2018, les jeunes coureurs Fynn Ury et Lenn Schmitz, le beaucoup plus expériementé Marc Indergand, ainsi que d'autres habitués de La Charly Gaul: Patrick Rauen, Philip Sunnen, Ludovic Brochard ou Eric Meyers. Un petit groupe d'une dizaine de concurrents arrivait avec une minute de déficit supplémentaire, tandis que le deuxième grand groupe, avec la première dame Cyriane Muller ou encore Carlos Calvo, Chris Johanns, Pascal Maquet et Jo Larry avait plus de cinq minutes de retard sur l'homme de tête. Peu avant le deuxième ravitaillement, le regroupement semblait inévitable: trois coureurs avaient rejoint l'homme de tête, et les poursuivants n'étaient plus qu'à une vingtaine de secondes, se rapprochant de plus en plus. C'est donc finalement un grand groupe de 38 coureurs qui s'est présenté à Echternach pour la victoire et, au sprint, Michael Apers s'est montré plus rapide que Rik Vandeurzen et Julien Dechesne. Fynn Ury termine premier coureur indigène en quatième position dans un groupe de tête qui contenait également les autres Luxembourgeois Philipp Sunnen, Lenn Schmitz, Marc Indergand, Sven Schmit, Paris Fellmann, Eric Meyers et Patrick Rauen. Le héros de la journée Anthony Spysschaert, seul en tête de la course pendant près de 70 kilomètres, a franchi la ligne d'arrivée en 38ème position, à 29 secondes du vainqueur.

Dans la course des DAMES, Cyriane Muller partait donc pour conquérir un quatrième titre consécutif, et la jeune femme n'a pas attendu longtemps pour affirmer sa surpématie. Après la première montée de la journée, la Lorraine avait une bonne minute de retard sur la tête de course masculine, mais elle avait déjà fait le break par rapport à ses concurrentes féminines: Anouk Schmitz pointait à une minute vingt de Muller avec la Belge Jessy Beelen. Margot de Meester et Allison Zava suivaient une vingtaine de secondes plus loin, devant Marie Lepoutre. Anne Pons, qui avait déjà terminé sur le podium de La Charly Gaul par le passé, passait ensuite avec Suzie Godart, notre championne du monde Gran Fondo nationale. De retour à Berdorf, 50 kilomètres plus loin et par l'autre versant, Muller avait déjà une dizaine de minutes d'avance sur la deuxième féminine dans la course, Margot De Meester et quelques secondes de plus sur Anouk Schmitz, qui venait de se faire décrocher par le groupe De Meester dans la montée et se retrouvait en solitaire. Alison Zava, deuxième de La Charly Gaul 2019 derrière ... Muller, passait à un petit quart d'heure avec Gitte Bongaerts et Raphaela Reichert.

Situation inchangée un peu plus tard, du côté de Berbourg. A 30 kilomètres de la conclusion, la femme de tête évoluait dans le deuxième peloton masculin, d'une quarantaine d'unités, à 5 minutes de la tête de course. De Meester suivait à 11 minutes dans un groupe de 30 coureurs et Anouk Schmitz avait récupéré une dizaine de compagnons de route, à 13 minutes et aux alentours de la 200ème position. Les carottes étaient donc cuites: Cyriane Muller s'est imposée à plus de 36 km/h de moyenne et sans discussion, excellente 95ème au classement scratch avec seulement 11 minutes de retard sur le vainqueur de la course. A plus de 13 minutes, Margot De Meester a terminée 168ème au classement général et 2ème féminine, tandis que l'excellente Anouk Schmitz s'est classée première Luxembourgeois et sur le podium, à 33 km/h de moyenne et avec 18 minutes de retard sur la désormais quadruple lauréate. Allison Zava, Gitte Bongaerts et Raphaela Reichert ont terminé ensemble et dans cet ordre à plus de 18 minutes. En 10ème position, la toute jeune triathlète Emma Vicente a franchi la ligne d'arrivée en tant que deuxième Luxembourgeoise, devant Suzie Godart, 13ème du classement.

www.rivella.lu www.trifolion.lu www.vew.lu www.chronorace.be www.rosport.lu/ www.cactus.lu www.echternach-tourist.lu/ Dossier Sponsoring

Note: "Ce site contient des liens vers d'autre pages internet. Nous n'avons pas d'emprise sur le contenu et la présentation sur ces sites et nous nous distançons donc explicitement du contenu des endroits auxquels tous les liens présents sur notre site peuvent donner accès."
Contact: ACC Contern - c/o M. Alain Conter - 47, Op der Hobuch - L-5832 Fentange - acccontern@gmail.com